438 pages.
Editions Perrin, 1990.
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité: 0000-00-00
En achetant ce produit vous pouvez gagner jusqu'à 2 points de fidélité. Votre panier totalisera 2 points pouvant être transformé(s) en un bon de réduction de 0,60 €.
Salan - Alain Gandy
438 pages.
Editions Perrin, 1990.
Destinataire :
* Champs requis
OU Annuler
4e de couverture :
« C’est la première biographie du général Salan ( 1899-1984) qui, de la guerre de 14-18 à celle d’Algérie, et à sa condamnation à la réclusion perpétuelle, a vécu toutes les guerres et les déchirements de la France du XXe siècle.
Engagé volontaire à dix huit ans, général à 45 ans, interlocuteur privilégié de Hô Chi Minh en 1946, "maréchal" préféré de De Lattre, commandant en chef en Indochine, commandant en chef en Algérie, figure centrale des évènements fondateurs de la cinquième république, officier le plus décoré de l’armée française, il devient, à 62 ans, le porte drapeau de la rébellion de l’Algérie Française, entre dans la clandestinité, resurgit le 20 avril 1962, menottes aux mains, et sera le héros marmoréen, d’un des grands procès de l’histoire. Ses admirateurs l’appellent "le maréchal oublié" et toute l’armée le surnommait "le mandarin". Son nom, aujourd’hui, évoque surtout l’Algérie, le coup de bazooka qui le manqua en 1957, l’insurrection du 13 mai 1958, son appel à de Gaulle lancé du balcon du forum, le putsch d’avril 1961, l’OAS dont il fut le chef, et enfin le procès dramatique au terme duquel ce général d’armée échappa à la peine de mort, à la grande fureur du général de Gaulle. Mais Salan avait vécu 59 ans avant de devenir la figure centrale du drame algérien. En lisant le récit de sa vie, on découvre cet homme énigmatique, marqué par ses 14 ans de séjour en Indochine et dont la rébellion après quarante-trois ans de légalisme républicain surprendra tout le monde. On s’aperçoit que, dès le grade de capitaine, Salan paraît indispensable à ses supérieurs et remplit des missions qui vont bien au delà de ses fonctions officielles. Son souci du renseignement, du secret, sa prudence, son habileté diplomatique, sa lucidité, alliées à des dons tactiques et stratégiques, manifestes dès 1944, et aussi sa neutralité politique font qu’on finit toujours par venir ou revenir à lui. En 1957, certains cénacles le considéraient curieusement comme un obstacle à l’Algérie Française. Ainsi tentèrent-ils de supprimer celui qui allait paradoxalement en devenir le porte drapeau. C’est dire la complexité et le parcours extraordinaires du général Salan. »
Aucun commentaire n'a été publié pour le moment.