352 pages.
Ed. L'Homme libre, 2015.
Format 14X21.
Plus d'une centaine de photos et illustrations.
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Berlin, derniers témoignages - Henri Fenet
352 pages.
Ed. L'Homme libre, 2015.
Format 14X21.
Plus d'une centaine de photos et illustrations.
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Présentation de l'éditeur :
« Le futur livre de référence sur la chute de Berlin.
Les livres ayant pour sujet les derniers jours du Reich et les combats pour Berlin sont innombrables mais celui-ci fera sans aucun doute date. L’éditeur a eu la chance de récupérer le tapuscrit inédit du commandant des derniers SS français qui combattirent à Berlin. Henri Fenet avait réuni une partie des témoignages qui composent ce livre, le reste des récits sont tirés de livres, inédits en français pour la plupart, et d’archives allemandes. Dans l’ultime résistance des dernières unités parmi les troupes les plus solides et les plus fidèles chargées de défendre la capitale du Reich, on ne trouvait qu’une seule grande unité de la Waffen-SS : la 11e Division Nordland, dirigée sur Berlin après de durs combats en Poméranie et sur l’Oder. Son commandant, le SS-Brigadeführer Ziegler, se vit alors remplacé par le SS-Brigadeführer Krukenberg, ancien inspecteur général de la Division Charlemagne accompagné de trois cents Waffen-SS français.
La situation désespérée du Reich, pris dans l’étau des Alliés, menacé par le Plan américain du conseiller de Roosevelt Morgenthau de stérilisation totale du peuple allemand et la barbarie des troupes soviétiques avec son cortège de viols et de massacres des populations civiles, ne laissait que peu de choix aux dirigeants du IIIe Reich. Les témoignages directs sur la fin de Hitler et des Goebbels apportent un éclairage émouvant sur les derniers jours dans le bunker de la Chancellerie. De nombreux récits de combattants complètent le tableau sur la fin cauchemardesque des combats de la capitale allemande où près de la moitié des femmes furent abusées par des hordes asiatiques, excités par les discours officiels.
Parmi les quelques dizaines de milliers de défenseurs de Berlin, les volontaires européens (Baltes, Scandinaves, Français, Espagnols, Portugais, Wallons, Croates, Hongrois, Roumains, Serbes, Italiens et même Anglais) furent parmi les plus décidés. Quelques-uns de leurs témoignages éclairent sur les conditions des combats, la désorganisation de la défense et leur tentative de fuite après la défaite.
Loin des partis pris ils retracent un portrait réaliste de l’agonie d’un Reich qui devait durer mille ans. »
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