Mémoires Inachevés - Serge de Beketch.
Sous-Titre : "Préface et postface de Nicolas Bonnal".
193 pages.
Editions Les Vilains Hardis.
Année : 2008.
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Mémoires Inachevés - Serge de Beketch
Mémoires Inachevés - Serge de Beketch.
Sous-Titre : "Préface et postface de Nicolas Bonnal".
193 pages.
Editions Les Vilains Hardis.
Année : 2008.
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4e de couverture :
« Il y a Pépia, Mémia, le Croquemitaine et un petit lapin ; des grands-pères colonels, des grands-oncles amiraux, médaillés, moustachus, tout un défilé militaire.
Des comtes russes et des barons baltes habillés dans de mauvais costumes de confection, la cheville enserrée dans une pince à vélo. Des toasts portés à notrrre Emperrreur et notrrre Impérrratrrrice dans l'attente inébranlable du prochain retour en Russie. Des samovars et des icônes repliés dans une maisonnette du Val-de-Loire, entre un poste de radio en bakélite et un cosy-corner. Une princesse tatare devenue infirmière, pour veiller sur les derniers jours de Charles Maurras en prison. Un grand-père enterré vivant sous les bombardements. Un père absent, disparu dans la tourmente de la guerre d'Indochine, retourné à la terre dans la cuvette de Dien Bien Phu.
Et un petit garçon figé dans la cour des Invalides pour recevoir de la main du général Zeller les décorations d'un soldat mort pour la France.
Serge de Beketch n'a pas eu le temps d'achever ses Mémoires. Il en a terminé le dernier chapitre le 3 août 2007. Hospitalisé le lendemain, il n'aurait plus la force de poursuivre, jusqu'à sa mort, le 6 octobre suivant. Les fragments qu'on a réunis ici ne couvrent qu'une partie de son existence. Les chapitres qu'il a rédigés n'en procureront pas moins à tous ceux qui l'ont aimé et admiré un choc. Pour le talent de conteur hors du commun qu'ils manifestent, bien sûr. Mais plus encore par ce qu'ils nous disent de Serge. Sa tendresse et sa fantaisie, sa générosité, son humour y éclatent dans une langue transfigurée par la grâce des premiers matins. C'est un bric-à-brac poétique au pays de l'enfance, où la fraîcheur le dispute à la drôlerie, la pudeur à l'émotion. Comme il lui ressemble... »
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