« Mémoires »
381 pages.
Ed. Perrin, 2018.
Dim : 24 x 15,5 x 3 cm.
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Hitler, les années obscures - Ernst Hanfstaengl
« Mémoires »
381 pages.
Ed. Perrin, 2018.
Dim : 24 x 15,5 x 3 cm.
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4e de couverture :
« D'origine americano-allemande, Enrst dit "Putzi" Hanftaegl a pénétré dès 1922 l'entourage du démagogue munichois dont il est devenu le conseiller, puis le responsable pour la presse étrangère avant de connaître une disgrâce progressive après son accession au pouvoir. Surnommé "le bouffon d'Hitler", en raison de son humour et de sa capacité à le délasser en jouant du piano, Hanfstaegl livre un témoignage de premier plan à la fois sur l'individu et les rivalités autour de sa personne ainsi que sur les événements marquants qui ont ponctué la décennie de sa marche au pouvoir absolu : putsch manqué de 1923, rédaction de Mein Kampf", campagnes électorales, accession à la chancellerie, nuit des longs couteaux...
Son sens du portrait, les multiples anecdotes et dialogues qui rythment l'ouvrage lui donnent un caractère particulièrement vivant qui n'ôte rien à son exactitude historique. On lira avec un intérêt particulier les pages qu'il consacre aux rapports d'Hitler avec les femmes et à son impuissance sexuelle affirmée par l'auteur. La dernière partie de l'ouvrage est toute aussi passionnante. Révulsé par les abominations du régime, l'auteur s'éloigne de son mentor qui le marginalise progressivement avant de tenter de le faire disparaître en 1937 à l'occasion d'une mission (épique) en Espagne.
Il s'enfuit en Grande-Bretagne puis parvient au Canada et enfin en Amérique où il deviendra conseiller occulte du président Roosevelt. Un destin exceptionnel digne des meilleurs romans d'espionnage et justifiant la belle sentence attribuée à François Mauriac : "Aux belles histoires imaginées, il faut préférer l'inimaginable histoire".
Publié en 1967 chez un éditeur disparu, ce récit était tombé dans l'oubli.
50 ans après, Jean-Paul Bled le remet en lumière en l'augmentant d'une présentation élogieuse et d'un appareil critique. »
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