« en abrégé ».
Suivi de « Du terrorisme abrutissant de divers mythes bien-pensants » et « des querelles entre thomistes sur le Bien commun ».
244 p.
Ed. Chrysalide, 2023.
Dim : 20,3 x 12,7 x 1,3 mm
EAN : 9782958179380
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Doctrine du fascisme catholique - Jean-Jacques Stormay
« en abrégé ».
Suivi de « Du terrorisme abrutissant de divers mythes bien-pensants » et « des querelles entre thomistes sur le Bien commun ».
244 p.
Ed. Chrysalide, 2023.
Dim : 20,3 x 12,7 x 1,3 mm
EAN : 9782958179380
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4e de couverture :
« Il n’est rien de ce travail qui n’ait été déjà abordé par nous ailleurs, mais la présentation des idées et leur enchaînement,
leur formulation aussi parfois, ont peut-être une configuration quelque peu renouvelée, afin de mettre en évidence de manière plus accusée et surtout plus simple ce qui fait la spécificité de notre vision de la chose politique. On s’est efforcé d’exposer ici les idées maîtresses de la doctrine du fascisme catholique en partant du principe suivant : Toute crise génératrice de décadence est causée par l’incomplétude du système politique et du système de pensée de l’avant de la crise, de telle sorte que la subversion pose de bonnes questions (même si elle les pose mal) et impose de mauvaises réponses. Le salut consiste toujours à ne jamais revenir en arrière (il ne convient pas d’être « antimoderne »), mais à prendre en compte les bonnes questions et à les résoudre selon les exigences des partisans de l’ordre qui est de nature intemporelle et, de ce fait, toujours « actuel ». Cette démarche revient à proposer comme vision du futur salvateur une réconciliation du passé avec lui-même par la médiation de principes et/ou de concepts qui n’appartiennent pas au passé mais qu’il faut aller puiser dans le présent, dans le monde de la décadence, riche de vérités captives ; ce passé devenu cohérent ne « passe » plus (« passer » équivaut à confesser une imperfection, ainsi une contradiction), et n’est plus du passé.
On doit, avant toute chose, comprendre pourquoi ce passé adorné par les bien-pensants n’est plus capable de susciter de désir : il n’a pas été réconcilié avec lui-même. Et le réconcilier avec lui-même, c’est ce qu’il faut commencer par faire, avant de songer à l’action, car c’est ce qui permet d’unifier les forces et de rendre appétible notre courant de pensée. »
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