302 p.
Ed. DMM, 2007.
Dim : 15 × 22,5 × 1,5 cm
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité: 0000-00-00
En achetant ce produit vous pouvez gagner jusqu'à 2 points de fidélité. Votre panier totalisera 2 points pouvant être transformé(s) en un bon de réduction de 0,60 €.
Filles des Lumières - Jean de Viguerie
302 p.
Ed. DMM, 2007.
Dim : 15 × 22,5 × 1,5 cm
Destinataire :
* Champs requis
OU Annuler
Présentation de l'éditeur :
« Cet ouvrage raconte l'histoire des salons parisiens au XVIIIe siècle. Non pas des salons de pure mondanité, mais des salons, sociétés d'esprit, où des gens du monde côtoient des gens de lettres. On y converse, on y fait la lecture d'œuvres à paraître. On y dîne et on y soupe. Ce sont des réunions peu nombreuses : vingt à vingt-cinq personnes au plus. On y est entre soi, entre esprits supérieurs ou s'estimant tels, et se tenant à l'écart du reste des humains. Le souvenir de certaines hôtesses, par exemple celui de Mme Geoffrin ou de la marquise du Deffand, est encore vivant de nos jours. Mais ces femmes ont eu beaucoup d'émules, aujourd'hui oubliées. Ce livre les faire revivre. Toutes sortent d'un " œuf magique ". Toutes sont des fées. Les gens d'esprit ont de l'esprit grâce à elles. Leur justesse et leur à propos sont si grands que même les misogynes les admirent. Mais leur succès ne les rend pas heureuses. Sans famille et sans affection, elles sont en fait des esseulées. On se prend de compassion pour elles. D'ailleurs ces sociétés qu'elles reçoivent, elles ne les président pas. Ce sont des hommes qui président, des littérateurs ou philosophes comme Fontenelle et d'Alembert. Ces autorités reconnues, ces penseurs officiels, utilisent les sociétés qui les accueillent et les femmes qui les reçoivent, les nourrissent et les honorent. Ils s'en servent pour établir le règne de la pensée unique de ce siècle. »
Sommaire :
Le phénomène des sociétés d'esprit
Ces femmes qui ont des sociétés d'esprit
Leurs sociétés
La société d'esprit se réunit
Oracles et présidents
Hôtesses et gens de lettres : une relation complexe
Aucun commentaire n'a été publié pour le moment.