« Etude critique de l'ouvrage d'Adrien Loubier intitulé Démocratie cléricale ».
215 p.
Ed. Saint Remi, 2011.
Dim : 14,5 × 20,5 × 1 cm
EAN : 9782845191501
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Le Concordat de 1801 - Joël Morin, Emmanuel Vicart
« Etude critique de l'ouvrage d'Adrien Loubier intitulé Démocratie cléricale ».
215 p.
Ed. Saint Remi, 2011.
Dim : 14,5 × 20,5 × 1 cm
EAN : 9782845191501
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Préface de la 2e édition :
« "Qui de nous ne bénirait ce précieux concordat, qui a été, pour tout un demi-siècle déjà, le point de départ de tout ce travail, de tout ce mouvement religieux dont s’étonnera la postérité ! " s'exclamait Monseigneur Pie, un demi-siècle après la signature du Concordat de 1801. A l'instar de l'évêque de Poitiers, l'immense majorité du clergé et des catholiques français au XIX° et au XX° siècle fut favorable à la convention passée entre le pouvoir civil et l'Eglise après la tourmente révolutionnaire. Mgr Pie et les catholiques avaient conscience que le retour du culte public de la religion catholique, en 1801, tenait du miracle. Le cataclysme révolutionnaire de la décennie 1789/1799 - châtiment de Dieu sur les fautes et les infidélités de nos rois aurait pu tout emporter… jusqu'au catholicisme romain.
Mais Dieu veillait et agréait le sacrifice de ses fils les plus fidèles : le 15 août 1801, le Concordat était signé. Bientôt disparaissaient les lois oppressives de la Révolution; le schisme de l'Eglise constitutionnelle s'éteignait; la hiérarchie légitime était rétablie et le sacerdoce pouvait se perpétuer en France… La sage et condescendante fermeté du Saint-Siège autant que sa prudence avait tiré du Concordat tout le bien possible à cette date. Certes, comme tout concordat, ce texte n'était pas l'idéal. Mais, rédigé dans des circonstances exceptionnelles, il restaurait des principes que l’Église ne devait pas s’attendre à voir méprisés.
Si, à la suite du Concordat du 1801, l'Eglise en France traversa des temps difficiles - l'ajout indu des Articles Organiques, l'excommunication de Napoléon, les violences répétées des sectaires au pouvoir - elle a pu sortir souvent de ces épreuves grâce aux avantages que lui procuraient les 17 articles du Concordat lui-même. Aussi a-t-il permis à l’Église de renaître en France et de produire les fruits merveilleux de sainteté qui ont embaumé le XIX° siècle.
Les Editions Saint Rémi sont vivement remerciées de la publication et de la diffusion - la date du 200° anniversaire de la signature du Concordat - de l'étude intitulée, à l'origine, Le Pape Pie VII précurseur de Vatican II ?, étude préfacée par Mgr Tissier de Mallerais.
Cette deuxième édition est enrichie, en annexe, de textes nouveaux et inédits. L'étude et les documents publiés rappellent quel fut le jugement de l'Eglise sur le Concordat de 1801, jugement si facilement oublié ou rejeté aujourd'hui. »
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