« Changeurs, usuriers et grands financiers »
320 p.
Ed. Perrin - 2012
Dim. 13.5 x 19 cm.
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La naissance du capitalisme au Moyen Age - Jacques Heers
« Changeurs, usuriers et grands financiers »
320 p.
Ed. Perrin - 2012
Dim. 13.5 x 19 cm.
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Présentation de l'éditeur:
« Il a plusieurs visages, le premier sous la forme de prêts d´argent et de spéculations Existe également un marché très actif de toutes sortes de valeurs mobilières. D´ailleurs, le mot de « bourse » date de cette époque ; c´était le nom d´une famille de Bruges où l´on négociait des parts et titres dont le cours variait chaque jour et que l´on pouvait vendre, acheter ou hypothéquer. Juifs et Lombards ne sont pas les seuls à pratiquer des taux d'intérêts qui tournent autour de 10%, les bourgeois sont bien plus nombreux que les étrangers. On ne les dit pas « prêteurs » ou « usuriers » mais « changeurs ». Signe que le capitalisme sous ces formes est très actif, les interdits de l´Eglise concernant l´usure et les prêts ne sont pas respectés. Leur multiplication est bien la preuve de pratiques de plus en plus communes. Les compagnies marchandes et financières sont très actives : toute affaire de quelque importance a son capital divisé en un grand nombre de parts, de sorte que des particuliers très modestes peuvent y participer. A cet égard, parler d´un « capitalisme populaire » n´est pas exagéré. Quant aux puissants, ce ne sont pas les grands marchands, mais les usuriers. Dans la cité, ils tiennent le haut du pavé et s´imposent en maîtres, les Médicis étant la figure la plus emblématique de ce phénomène. »
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