Jean-Marie m'a tuer... - François Brigneau

4e de couverture :

« Ce livre commence par la fin.
La fin des onze années de bons et loyaux services à National hebdo, le dernier journal de ma vie. Je dus le quitter en janvier dernier, sans être autorisé à donner aux lecteurs les raisons de mon départ, ni même à les saluer. Du passé faisons table rase.
Suit une cinquantaine de chroniques. Classées en chapitres - Petits faits (vrais) de société, la France vue de France, L'étranger vu de France, Histoires juives - elles résument ce que fut mon travail et en donne le ton.
On revient au "suicide collectif" - Avant la rupture, La rupture pour sauver de l'oubli "Bonsoir tristesse" et les chroniques du mauvais temps. Elles sont suivies d'annexes qui ne feront pas plaisir à tout le monde et d'une fable, inédite, à la manière de ce bon monsieur de La Fontaine, et parce qu'il vaut mieux sourire que pleurer :
"Un jour Le Pen dit au Bruno."
J'oubliais. Mathilde Cruz a tenu à mettre son grain de sel. Elle nous donne quelques protraits qui n'en manquent pas. On pourra aussi juger sur pièces l'affaire du dopage et l'amalgame Virenque - Le Pen, dénoncé par lui au micro de Radio-Courtoisie.
L'ensemble est éclairé par vingt-deux dessins de Konk, Premier dessinateur du Monde, son non-conformisme l'avait contraint d'abandonner la voie royale. Premier dessinateur de National hebdo, son non-conformisme l'oblige à quitter notre chemin escarpé.
Victime du naufrage, il ne pouvait pas ne pas être de cette bouteille à la mer.
On trouvera, à juste titre, le prix de cette ouvrage élevé. Quand on est obligé d'assumer à la fois la création, la mise de fonds, l'édition et la diffusion, c'est le prix de l'artisanat et de l'indépendance. »