Tome III : « Elohîm ».
Sourate IV : le Dieu des fécondités - Sourate V : C'est le Dieu qui est roi !
Postface de l'abbé de Nantes.
Relié.
335 pages.
Ed. de la Contre-Réforme Catholique, 1997.
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Le Coran, traduction et commentaire systématique, Tome III - Frère Bruno Bonnet-Eymard
Tome III : « Elohîm ».
Sourate IV : le Dieu des fécondités - Sourate V : C'est le Dieu qui est roi !
Postface de l'abbé de Nantes.
Relié.
335 pages.
Ed. de la Contre-Réforme Catholique, 1997.
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Tome III : « Elohîm ».
Présentation de l'éditeur :
« "Et une étude linguistique et historique : La Ka'ba. Traduction du Coran « Eh bien, mon cher ami, rendons grâce à Dieu, par Jésus-Christ ! Votre hypothèse d'une origine hébraïque de la langue du Coran, qui était d'une incroyable audace, tient bon. Au point de me paraître, après ce troisième volume, pratiquement inébranlable.
"Car seule, elle aboutit à une traduction savante, cohérente, lisible, compréhensible, enfin révélatrice d'un monde enfoui dans les sables, oublié, et d'une religion perdue...
"En refermant ce troisième tome, j'ai la certitude que vous ne vous égarez pas. Blachère et Masson, eux, s'égarent et nous égarent, après tant d'autres : les contresens et non-sens que vous citez, entre mille, le prouvent assez. C'est très humiliant pour la science académique, laïque. Par exemple, le déballage de stupidités énormes auquel donne lieu la citation d'Isaïe 6 9 (IV 46) que Blachère n'a pas su reconnaître, et pour cause !
"Et la sottise de ce tabou alimentaire qui interdit que l'on se nourrisse... de ce que les fauves ont dévoré (V 3) ! Si les fauves l'ont déjà dévoré, n'en parlons plus !
"Ou encore la scandaleuse omission du verbe monter, 'alâ (V 8) qui efface la préoccupation centrale de l'auteur : la « montée », 'aliyyâh, à Jérusalem, thème déjà rencontré au fil des sourates précédentes (III 64 +, 139 +, 167 ; IV 61 +), idée force qui anime d'un souffle guerrier les appels à la réunion en bande, Jihâd, des fidèles, dans le sentier du Dieu.
"En effet, la traduction savante de la sourate III, objet de votre deuxième volume, avait bien confirmé que tel était le but de la « montée » (III 6l, 64, 139, 167) à laquelle l'auteur invitait ses fidèles: la conquête de Jérusalem. Mais ce fut un échec, la sourate III fait état de cet échec éprouvant comme un calvaire, qarhun (III 140), en même temps que de l'espérance ferme des sarrasins de réussir un jour.
"Les sourates IV et V nous racontent la suite de cette histoire. Après l'échec de 614 et le retrait de Jérusalem : la fuite au désert, hors de Palestine, en Arabie Pétrée, où les fidèles regroupés autour de leur oracle, rasûl, préparent une seconde tentative.
"Hâtez-vous de nous livrer la sourate VI, qui nous apprendra sans doute quelle fut l'issue, glorieuse ou tragique, de cette nouvelle expédition des enfants d'Ismaël, les élus du Dieu ! partis de Medaïn Saleh, l'antique Hégra, ou de Pétra, la Roche du désert, pour entrer en Terre sainte comme les Hébreux jadis conduits par Moïse." »
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