« Où allons-nous ? Coup d'oeil sur les tendances de l'époque actuelle »
« suivi de : La situation : douleurs, dangers, devoirs, consolations des catholiques, dans les temps actuels »
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Où allons-nous ? - La situation - Où en sommes-nous ? - Mgr Gaume
« Où allons-nous ? Coup d'oeil sur les tendances de l'époque actuelle »
« suivi de : La situation : douleurs, dangers, devoirs, consolations des catholiques, dans les temps actuels »
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En effet, le premier ouvrage écrit en 1844 montre à quel point Mgr Gaume fut un des esprits les plus perspicaces de son temps. La déchristianisation totale que nous vivons est prédite dans cet ouvrage qui pointe du doigt les faux principes du libéralisme énoncés à son époque, et les conséquences désastreuses pour la société, la famille et l’individu. « L’ouvrage dans lequel vous avez sondé si résolument et si profondément les abîmes de cette société mourante », disait Donoso Cortès à Mgr Gaume.
Dans le deuxième, écrit en 1860, Mgr Gaume fait le point de la situation tout en apportant les réponses à la dérive complète qu’il observe à tous les niveaux dans la société : « Il arrive des époques où l’erreur longtemps ménagée, finit par amonceler des nuages qui obscurcissent l’horizon. La vérité ne projette plus, sur la plupart des intelligences, que des lueurs douteuses. Le danger de s’égarer devient imminent. À ces heures redoutables une sorte de vertige semble tomber sur le monde. Les têtes tournent. Les mots changent de signification. Les plus fermes esprits ne raisonnent plus, les autres déraisonnent complètement. »
Le dernier, Où en Sommes-Nous ?, écrit en 1871, est l’ouvrage de la vieillesse de Mgr Gaume, on pourrait dire son testament. Il nous livre ses analyses politiques sur l’état de l’Église, de la France, de l’Europe et du Monde. Il prédit en simple historien dès 1870 les effets qui suivront l’abandon des principes chrétiens, et nous ne pouvons qu’être époustouflés de l’exactitude de ses avertissements dans tous les domaines, social, religieux, politique. Il nous livre enfin le dernier remède, le dernier espoir pour un renouveau catholique : « Comment sauver les générations naissantes ? Par la réforme radicalement chrétienne de l’éducation, et, avant tout, de l’éducation des classes élevées, qui font les autres à leur image. Radicalement chrétienne, c’est-à-dire chrétienne dans les livres et dans les hommes, dans les maîtres morts et dans les maîtres vivants, et cela dès le début jusqu’au terme final. »
« L’éducation est un remède tardif et lent, nous le savons. Mais, d’une part, nous n’en connaissons pas d’autre. Nous savons, d’autre part, qu’en l’appliquant résolument et avec ensemble, nous aurons fait ce qui reste humainement possible ; et, en dégageant notre responsabilité devant Dieu comme devant les hommes, nous aurons préparé pour l’avenir ou de nobles vainqueurs ou de nobles victimes. »
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